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- Les grandes dates
- Les précurseurs dans les recherches
- Polémique sur le lieu exact de l’apparition du VIH ?
  Quelle est la maternité exacte du virus du Sida ?

- Modes de transmission
- Moyens de prévention
- Histoire du préservatif
- Quid des recherches en cours sur le sida ?

Polémique sur le lieu exact de l'apparition du VIH ? Quelle est la maternité
exacte du virus du Sida ?
Voilà comment peut se résumer la question relative à la polémique caractéristique de notre monde actuellement, selon la réflexion de ACS/AMOCONGO. Difficile, voire impossible de répondre à cette question, tellement que les chercheurs, encore une fois, n'accordent pas leurs violons à ce sujet, ni autour de la date exacte, ni autour du lieu exacte de l'apparition de ce virus.

Certaines études ont suggéré que ce virus serait apparu initialement en Afrique de l'Ouest, d'autres sources affirment que le premier échantillon recensé du VIH serait recueilli en 1959 à Kinshasa, alors Léopoldville, en République Démocratique du Congo. D'autres sources encore attestent que parmi les premiers échantillons recueillis, on compte également le cas d'un Américain homosexuel en 1969 et d'un marin norvégien en 1976.

Au début de l'épidémie, des recherches ont été entreprises pour déterminer le patient zéro , c'est-à-dire celui qui aurait propagé le virus aux États-Unis. Pendant un temps les soupçons se sont portés sur Gaetan DUGAS , un steward canadien homosexuel qui est décédé le 30 mars 1984 .

Une autre étude dirigée par Michael WOROBEY et publiée dans PROCEEDINGS of the National ACADEMY of Sciences le 29 octobre 2007 fait remonter l'entrée du VIH aux États-Unis vers 1969 , par un immigré haïtien célibataire.

Ces quelques illustrations, toutes ambitieuses et se voulant crédibles, nous pouvons les multiplier sans fin. Et leur prolifération irait à perte de vue.

Voilà pourquoi, nous mettant à la place des visiteurs de notre site, nous préférons couper court à cette polémique, apparemment sans fin, en faisant la réflexion suivante :

Même si les informations divergent autour de la maternité exacte de ce virus, une chose certaine est que les informations les plus convergentes sont celles qui affirment qu'il n'y a absolument aucun pays au monde qui peut prétendre actuellement vivre en marge de cette pandémie. Voilà au moins la réalité qui met tout le monde d'accord.

Ainsi donc, peu importe cette fameuse maternité du VIH, tous les pays du monde, quoiqu'à des pondérations différentes, connaissent une séroprévalence en tout cas différente de zéro. C'est cela l'évidence !

Modes de transmission
Les modes de transmission du VIH sont au nombre de trois et ont chacun leurs particularités. Il s'agit de :

La transmission par voie sexuelle : C'est la voie de transmission la plus importante. En effet, la plupart des infections par le VIH ont été ou sont encore acquises à l'occasion de rapports sexuels non protégés . Certaines sources affirment que plus de 90% des personnes vivant avec le VIH à travers le monde, ont l'attrapé par la voie sexuelle.

Il est ici question de toutes les pratiques sexuelles, peu importe qu'elles soient vaginales, anales, ou autres buccales. Ces pratiques sexuelles avec des personnes infectées sont à risque aussi bien pour les partenaires insertifs que pour les partenaires réceptifs. Disons aussi que les rapports sexuels par pénétration anale sont plus dangereux que ceux par pénétration vaginale.

La transmission sexuelle se fait par contact entre les sécrétions sexuelles (ou du sang contaminé par le virus) et les muqueuses génitales, rectales ou buccales.

La transmission par voie sanguine : Ce mode de contamination concerne tout particulièrement les usagers de drogues injectables , les hémophiles et les transfusés . Les professionnels de santé (soins infirmiers, laboratoires) sont aussi concernés, bien que plus rarement. Il ne faut pas négliger les risques de contamination par aiguilles souillées et non ou mal désinfectées ( scarifications , tatouages ).

La transmission de la mère à l'enfant : La transmission mère-enfant du virus peut survenir in utero dans les dernières semaines de la grossesse , et au moment de l' accouchement . En l'absence de traitement, le taux de transmission, entre la mère et le fœtus, avoisine les 20 %. L' allaitement présente aussi un risque supplémentaire de contamination du bébé, de l'ordre de 5 %, ce qui explique qu'il soit déconseillé en cas d'infection de la mère.

Moyens de prévention
Disons ici qu'à chaque voie de transmission, correspondent des moyens de prévention spécifiques. Il convient néanmoins de signaler qu'il n'existe à ce jour ni vaccin , ni médicament curatif efficace contre le sida. Les moyens de prévention contre le VIH/Sida sont en étroite liaison avec les modes de transmission existants, à savoir : la transmission par voie sexuelle, la transmission par voie sanguine et la transmission de la mère à l'enfant.

Prévention par rapport à la transmission par la voie sexuelle : Le meilleur moyen de protection contre le VIH dans ce mode de transmission est le préservatif. Ce produit existe en deux versions : la version pour hommes et la version pour femmes.

Mais il est aussi recommandé l'abstinence sexuelle pour les non mariés et bien entendu la fidélité pour les mariés.

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